Depuis que je puisse m'en souvenir j'ai voyagé avec mes parents. Mon père était un marchant itinérant et ma mère tenait le comptoir de la boutique, enfin boutique, c'était une simple carriole rattaché à celle ou nous dormons. Les journées étaient tranquilles, j'en passais une bonne partie avec des précepteurs de par le monde. M'éduquant dans tous leurs domaine de prédilections, m'apprenant une quantité astronomique d'informations qui pour la plus part étaient perdues sur moi. J'avais quelques dons pour la magie et l'escrime mais mon vrai talent se trouvait dans la danse. Le reste de la journée je restais avec mon père, je ne voyais que très rarement ma mère. Les nuits... Oh les nuits étaient beaucoup moins tranquilles.
Ma mère était ce qu'on appelle une légende vivante, enfin l'incarnation actuelle d'une légende vivante : le Renard Masqué. Le plus grand criminel de tous les temps qui vole plus par passion que par besoin. Elle m'emmenait souvent avec elle, m'apprenant son art, m'entrainant dans cette passion qui n'est évidemment moralement pas correct. Mais qui veut du moralement correct quant on peut entrer dans le coffre fort le plus sécurisé d'un pays et en ressortir les poches pleines sans que personne ne sache exactement qui vous êtes.
Un jour alors que j'avais quinze ans elle me montra un coffre en bois qu'elle avait toujours sur elle. Quand elle ll'ouvrait normalement il était vide, quand elle l'ouvrait avec sa clef en bois elle se remplissait magiquement de trésors impréssionant. Ma mère m'a mit au défi de le lui prendre. Chaque jour elle le pose sur une table entouré de piège en tout genre et chaque nuit j'essaye de le prendre. Il m'a fallut trois ans pour y arriver, et quand j'ai ouvert le coffre ce ne fut pas un trésor qui m'attendait mais une fléchette empoisonné.
Lorsque je me suis réveillé j'étais seul dans un petit bosquet sans aucune trace de mes parents. A côté de moi, mes affaires ansi qu'une petite boite. A l'interieur il y avait un trouceau de clef en contenant quatre : une en bronze, une en argent, une en or et une dans une matière qui m'est inconnue. Il y avait aussi de quoi continué mes activités nocturnes quotidienne et un petit mot. Sur ce mot ma mère me révéla quelques informations.
Premièrement : elle et papa étaient partis au Terrier, un endroit sacré pour le Renard Masqué ou les générations précédentes ont entreposés leurs trésor.
Ensuite j'avais atteint un seuil dans mon éducation et pour continuer de grandir il me fallait maintenant que je ne repose plus sur eux mais sur moi même.
Dernièrement il y avait une brève explication de ce que contenaient les coffres correspondant aux clefs. Celui de bronze était l'étape initiatique, quand je le trouverait et l'ouvrirait je deviendrais à mon tour le Renard Masqué. Malheureusement pour celui d'argent la pluie était parvenu dans le coffre et ce passage était illisible. Finalement le coffre d'or donne accès au Terrier ainsi qu'à ses trésors fabuleux.
Je dit bien finalement car la dernière clef n'avait qu'une seule ligne d'explication, c'est le coffre mystère qui élucide la légende, un trésor qu'aucun Renard Masqué n'a réussi à voler. Et si certain s'en sont rapproché ils n'ont jamais put en dire plus aux générations suivantes.
Il est donc maintenant temps pour moi de parcourir ce monde à la recherche de ses coffres pour prendre la suite de ma mère et de ceux avant eux, mais évidemment je ne vais pas me cantonner à ses quatre coffres. Qu'est-ce que vivre, si l'on ne peut s'amuser ?
Ma mère était ce qu'on appelle une légende vivante, enfin l'incarnation actuelle d'une légende vivante : le Renard Masqué. Le plus grand criminel de tous les temps qui vole plus par passion que par besoin. Elle m'emmenait souvent avec elle, m'apprenant son art, m'entrainant dans cette passion qui n'est évidemment moralement pas correct. Mais qui veut du moralement correct quant on peut entrer dans le coffre fort le plus sécurisé d'un pays et en ressortir les poches pleines sans que personne ne sache exactement qui vous êtes.
Un jour alors que j'avais quinze ans elle me montra un coffre en bois qu'elle avait toujours sur elle. Quand elle ll'ouvrait normalement il était vide, quand elle l'ouvrait avec sa clef en bois elle se remplissait magiquement de trésors impréssionant. Ma mère m'a mit au défi de le lui prendre. Chaque jour elle le pose sur une table entouré de piège en tout genre et chaque nuit j'essaye de le prendre. Il m'a fallut trois ans pour y arriver, et quand j'ai ouvert le coffre ce ne fut pas un trésor qui m'attendait mais une fléchette empoisonné.
Lorsque je me suis réveillé j'étais seul dans un petit bosquet sans aucune trace de mes parents. A côté de moi, mes affaires ansi qu'une petite boite. A l'interieur il y avait un trouceau de clef en contenant quatre : une en bronze, une en argent, une en or et une dans une matière qui m'est inconnue. Il y avait aussi de quoi continué mes activités nocturnes quotidienne et un petit mot. Sur ce mot ma mère me révéla quelques informations.
Premièrement : elle et papa étaient partis au Terrier, un endroit sacré pour le Renard Masqué ou les générations précédentes ont entreposés leurs trésor.
Ensuite j'avais atteint un seuil dans mon éducation et pour continuer de grandir il me fallait maintenant que je ne repose plus sur eux mais sur moi même.
Dernièrement il y avait une brève explication de ce que contenaient les coffres correspondant aux clefs. Celui de bronze était l'étape initiatique, quand je le trouverait et l'ouvrirait je deviendrais à mon tour le Renard Masqué. Malheureusement pour celui d'argent la pluie était parvenu dans le coffre et ce passage était illisible. Finalement le coffre d'or donne accès au Terrier ainsi qu'à ses trésors fabuleux.
Je dit bien finalement car la dernière clef n'avait qu'une seule ligne d'explication, c'est le coffre mystère qui élucide la légende, un trésor qu'aucun Renard Masqué n'a réussi à voler. Et si certain s'en sont rapproché ils n'ont jamais put en dire plus aux générations suivantes.
Il est donc maintenant temps pour moi de parcourir ce monde à la recherche de ses coffres pour prendre la suite de ma mère et de ceux avant eux, mais évidemment je ne vais pas me cantonner à ses quatre coffres. Qu'est-ce que vivre, si l'on ne peut s'amuser ?