Chapitre 4 – Marie, zombies et fuite
Le par terre de ronces qu'ils avaient installé était en lambeaux, déchiqueté par la myriade de griffes qui étaient passés par la. Le chemin de destruction était facile à suivre, quelques unes des créatures étaient parties dans la forêt, mais Simon les ignora. Il prit la suite de la cohorte principale au pas de course comme il n'avait jamais put dans la forêt, la route à suivre totalement déblayé de tout obstacle.
De toute évidence, les monstres qui c'étaient séparés du groupe principal avait trouvé des proies. La forêt retentissait de cris d'horreur, de peur et de douleur à en donner le vertige, et pis sur le sillage des monstres une petite flaque de sang tronait. Un frisson commença dans le dos de Simon, mais le jeune garçon se concentra sur sa colère et tonna avec bravade un rugissement de rage. Il banda ses muscles pour soumettre le spasme et se lança dans un sprint enragé.
Il arriva à l'orée de la forêt et malgré toute sa volonté, se retrouva paralisé par la vision qui s'offrait à lui. Un champ de bataille, rempli de sang. Et de morts. Plus qu'une bataille, c'était un carnage ou s'affrontait de pauvres adolescents sans défences aux colosses, redoutables montagnes de muscles armés de griffes dévastatrices. La mort et destruction était tellement intense que le cerveau de Simon n'arrivait pas à comprendre les informations qu'il voyait, cela sauva surement la mentalité du jeune homme. Même le cadavre de Mr Trombes à quelques mettre de lui, même la vue de la tête d'un petit sixième écrasé par un des monstres. Dans le futur tout ce qu'il retiendrait de cet évenement serait un sentiment total de terreur, de panique et d'impuissance. Mais l'instant était au présent. Et dans l'instant présent, alors qu'il regardait toutes ses horreurs, son corps avait commencé à reculer. Un pas, puis un autre. Encore un. Puis une jeune fille s'écria derrière lui. La surprise fut totale et permis à Simon de se reprendre. Il se retourna et voulu lever son épée, prêt à se défendre, mais il l'avait oublié avec Yann et Arthur. Il jura dans sa non barbe.
La jeune fille traversa le sillage des monstres en diagonale, suivi de prêt par un des colosse. Ils disparurent derrière un touffe d'arbres, mais un craquement sonore suivi presque immédiatement d'un râle de douleur ne laissait aucun doute. Le manque quasi total d'émotion que la scène avait provoqué chez Simon le surpris, mais il s'avait qu'il n'avait pas le luxe de faire une scéance introspective. De plus la jeune fille avait rappelé la raison de la présence du jeune homme dans cet enfer.
Il ramassa une grosse branche, plus pour se rassuré que pour se battre, et chercha un moyen d'entrer dans l'internat. Marie était dans sa chambre, il en avait le sentiment intime. Elle ne pouvait qu'être la, à attendre qu'on vienne la sauver. Qu'il vienne la sauver. Il regarda encore une fois le champ de bataille, mais cette fois, il ne paya pas mine au sang et aux morts. Il ce concentra uniquement sur le chemin qu'il avait à suivre pour atteindre la porte de l'internat.
Il y avait trois de ses horribles colosses sur le chemin, deux d'entre eux étaient … occupés. Le troisième venait de se relever, le torse recouvert de rouge. Il trouva rapidement une nouvelle cible, et Simon profita de ce moment pour partir. Il sprinta arme en main, le regard fixé sur la porte métallique qu'il visait. Vingt metres, puis dix, puis. La vision du jeune se brouilla alors que l'air quittait ses poumons. Il vola en avant sur quelques metres et atteri sur quelque chose de mou, mais qui ne faisait pas de bruit. Il se retourna et vit le colosse qui l'avait percuté sprinter vers lui. Etrangement Simon voyait la scène avec une clarté absolue. Toujours alongé, il arqua le bras devant son torse prêt à donner un puissant coup de son arme improvisait. Quand le monstre fut à moins de deux metres, il laissa partir le coup. D'abord l'épaule se déroula, puis le coude et enfin le poignet. Au milieu de son geste, ses doigts s'ouvrir et l'arme vola en direction des jambes du monstres. C'était un coup desespéré, mais le seul qu'il restait au jeune homme.
Il ne regarda même pas si son coup avait fait mouche, et se remit à courir vers la porte. Le bruit de pas derrière lui fut remplacé par celui d'un énorme objet frappant le sol. Un gros sourire au visage, Simon attrapa la poignée, et d'un geste fluide, il se retrouva en sécurité à l'interieur. Un frisson parcouru le jeune homme alors qu'il se retournait les yeux grand ouverts, prêt à se faire tailler en pièce par le monstre qui l'attendait innexorablement. Mais non, il avait de la chance, l'ascenseur était désert.
Simon souffla un grand coup et adressa une prière à n'importe quel divinité qui daignait l'écouter. Il fut à nouveau pris de court quand le monstre qui le suivait s'écrasa de toute ses forces contre la porte dans un vacarme de bruit. La porte l'emporta, mais le sursaut du garçon l'avait porté jusqu'à la deuxième marche. Une note métalique raisonna dans la cage d'escalier alors que Simon montait les marches quatre à quatre, peut désireux de savoir si le colosse savait utiliser une porte.
Il arriva au premier étage. D'ordinaire le couloir peint en rose et la lumière qui irradiait des fenêtre donnait à la scène un sentiment de tranquilité, mais ce n'était plus le cas. Les murs étaient lacérés de petites griffures et plus rarement, de grandes. Le sol était jonché de cadavres et de sang, mais le couloir était vide. Encore une fois l'étrange sensation de manque d'émotion pris le jeune homme. Malheureusement, elle n'aidait pas avec les odeurs. Simon recouvrit son nez avec son T-shirt et s'avança lentement dans le couloir. Il regardait droit devant lui, vers la porte de la chambre de Marie, en partie pour voir si un monstre allait arriver, mais surtour pour éviter les regards vides de ses anciens camarades. Quand même, à chaque fois qu'il passait devant un des machabés il leur jettais un petit regard et à chaque fois son cœur s'emballait lorsqu'il découvrait que ce n'étais pas Marie. Il s'en voulait de penser ainsi, mais son désir de retrouver Marie saine et sauve était nien plus fort que son sentiment de culpabilité.
Enfin, il se retrouva devant la chambre de Marie. La porte était entrouverte. Son cœur repris un rythme emballé alors qu'il levait le bras pour ouvrir la porte. Il avait fait tout ce chemin pour en arriver la, et maintenant qu'il y était, il avait trop peur de ce qu'il risquait de trouver pour l'ouvrir. Il essaya de prendre une grande inspiration pour se donner courage, mais l'odeur du sang était si forte qu'il failli déglutir. Finalement c'est son épuisement et sa colère qui lui permirent de reprendre le dessus. Il en avait marre de se faire attaquer, de ses sentiments horribles qui l'accablait depuis qu'il avait tuer Thibault, de cette odeur de mort qui flottait, de toute cette histoire étrange et horrible. Il frappa la porte d'un coup de pied et entra à l'interieur, résolu à affronter tout ce qui pourrait si trouver.
La chambre était vide et bien rangée, aucun signe de lutte, ni même du passage des petites créatures. Elle était dans le même état qu'elle était le jour d'avant, avant que toutes les horreurs frappent l'internat. Simon frappa le mur de colère et s'assit dans le couloir, oubliant completement la scène qui l'entourait. Réflechissant à cent à l'heure il chercha où la jeune fille avait bien put se cacher, convaincu qu'elle allait bien. Sans y penser il rejeta un coup d'oeil à la chambre qu'il voyait pour la première fois.
- Je ne la pensais pas aussi fifille. Se surpris-t-il à penser.
Un cri dans la chambre d’à côté le tira de sa rêverie et sans même y penser Simon entra dans la pièce voisine. Il vit Laure, recroquevillé dans un coin de la chambre, un des colosses à quelques pas à peine. Simon frissonna de peur pour la jeune fille et lui même, puis toujours à bout de nerfs fit fit de ses craintes, et fonça droit sur le monstre. Il ramassa une chaise au passage et frappa de toutes ses forces le monstre au niveau de ses jambes, le seul point faible qu'il leur connaissait. Le choc brisa la chaises en morceaux, certaines échardes griffèrent Laure aux avant-bras qui protégeaiebt son visage, mais il eut aussi l'effet désiré. La créature s’effondra par terre avant de se retourner vers son agresseur. D'un vigoureux coup de pied au visage, Simon le renvoya au tapis et, il attrapa le bras de Laure. Il l'attira vers lui, puis la tira hors de la chambre. D'un virage sec il se propulsa avec la jeune fille dans la chambre de Marie et referma la porte. Il recouvrit la bouche de Laure de sa main pour l'empecher de faire du bruit et attendit, oreille collé contre la porte. Il entendit les pas lourds du colosse, tandis qu'il chargeait à travers le couloir à la recherche de ses proies disparues. Dans sa hate il n'avait pas remarqué qu'il baillonait toujours la jeune fille tout en se tenant à distance très peu respectable. Il lacha prise en sursaut et devint rouge comme une pivoine au passage alors qu'il essayait de caffouiller des excuses.
- Tu n'es pas blessée ? Demanda-t-il à son amie finalement d'une voix forte qu'il voulait héroique, pour essayer de reprendre contenance.
- Non ça va, répondit elle vexée en ce massant le bras. Tu m'as fait plus de mal que cette chose espèce de sauvage.
Simon abassourdi ne s'attendait pas à cette réponse.
- Désolé, se repris la jeune fille tout à coup embarassée. Tu m'as sauvé la vie, merci.
- De rien, répondit Simon ne sachant plus trop à quoi s'attendre de son amie.
Puis son objectif lui revint en tête :
- Tu peux me dire ou est Marie ?
Laure ne répondit pas et dans le silence, il réalisa enfin ce qui c'était passé.
- C’était elle? Demanda-t-il connaissant déjà la réponse.
Le par terre de ronces qu'ils avaient installé était en lambeaux, déchiqueté par la myriade de griffes qui étaient passés par la. Le chemin de destruction était facile à suivre, quelques unes des créatures étaient parties dans la forêt, mais Simon les ignora. Il prit la suite de la cohorte principale au pas de course comme il n'avait jamais put dans la forêt, la route à suivre totalement déblayé de tout obstacle.
De toute évidence, les monstres qui c'étaient séparés du groupe principal avait trouvé des proies. La forêt retentissait de cris d'horreur, de peur et de douleur à en donner le vertige, et pis sur le sillage des monstres une petite flaque de sang tronait. Un frisson commença dans le dos de Simon, mais le jeune garçon se concentra sur sa colère et tonna avec bravade un rugissement de rage. Il banda ses muscles pour soumettre le spasme et se lança dans un sprint enragé.
Il arriva à l'orée de la forêt et malgré toute sa volonté, se retrouva paralisé par la vision qui s'offrait à lui. Un champ de bataille, rempli de sang. Et de morts. Plus qu'une bataille, c'était un carnage ou s'affrontait de pauvres adolescents sans défences aux colosses, redoutables montagnes de muscles armés de griffes dévastatrices. La mort et destruction était tellement intense que le cerveau de Simon n'arrivait pas à comprendre les informations qu'il voyait, cela sauva surement la mentalité du jeune homme. Même le cadavre de Mr Trombes à quelques mettre de lui, même la vue de la tête d'un petit sixième écrasé par un des monstres. Dans le futur tout ce qu'il retiendrait de cet évenement serait un sentiment total de terreur, de panique et d'impuissance. Mais l'instant était au présent. Et dans l'instant présent, alors qu'il regardait toutes ses horreurs, son corps avait commencé à reculer. Un pas, puis un autre. Encore un. Puis une jeune fille s'écria derrière lui. La surprise fut totale et permis à Simon de se reprendre. Il se retourna et voulu lever son épée, prêt à se défendre, mais il l'avait oublié avec Yann et Arthur. Il jura dans sa non barbe.
La jeune fille traversa le sillage des monstres en diagonale, suivi de prêt par un des colosse. Ils disparurent derrière un touffe d'arbres, mais un craquement sonore suivi presque immédiatement d'un râle de douleur ne laissait aucun doute. Le manque quasi total d'émotion que la scène avait provoqué chez Simon le surpris, mais il s'avait qu'il n'avait pas le luxe de faire une scéance introspective. De plus la jeune fille avait rappelé la raison de la présence du jeune homme dans cet enfer.
Il ramassa une grosse branche, plus pour se rassuré que pour se battre, et chercha un moyen d'entrer dans l'internat. Marie était dans sa chambre, il en avait le sentiment intime. Elle ne pouvait qu'être la, à attendre qu'on vienne la sauver. Qu'il vienne la sauver. Il regarda encore une fois le champ de bataille, mais cette fois, il ne paya pas mine au sang et aux morts. Il ce concentra uniquement sur le chemin qu'il avait à suivre pour atteindre la porte de l'internat.
Il y avait trois de ses horribles colosses sur le chemin, deux d'entre eux étaient … occupés. Le troisième venait de se relever, le torse recouvert de rouge. Il trouva rapidement une nouvelle cible, et Simon profita de ce moment pour partir. Il sprinta arme en main, le regard fixé sur la porte métallique qu'il visait. Vingt metres, puis dix, puis. La vision du jeune se brouilla alors que l'air quittait ses poumons. Il vola en avant sur quelques metres et atteri sur quelque chose de mou, mais qui ne faisait pas de bruit. Il se retourna et vit le colosse qui l'avait percuté sprinter vers lui. Etrangement Simon voyait la scène avec une clarté absolue. Toujours alongé, il arqua le bras devant son torse prêt à donner un puissant coup de son arme improvisait. Quand le monstre fut à moins de deux metres, il laissa partir le coup. D'abord l'épaule se déroula, puis le coude et enfin le poignet. Au milieu de son geste, ses doigts s'ouvrir et l'arme vola en direction des jambes du monstres. C'était un coup desespéré, mais le seul qu'il restait au jeune homme.
Il ne regarda même pas si son coup avait fait mouche, et se remit à courir vers la porte. Le bruit de pas derrière lui fut remplacé par celui d'un énorme objet frappant le sol. Un gros sourire au visage, Simon attrapa la poignée, et d'un geste fluide, il se retrouva en sécurité à l'interieur. Un frisson parcouru le jeune homme alors qu'il se retournait les yeux grand ouverts, prêt à se faire tailler en pièce par le monstre qui l'attendait innexorablement. Mais non, il avait de la chance, l'ascenseur était désert.
Simon souffla un grand coup et adressa une prière à n'importe quel divinité qui daignait l'écouter. Il fut à nouveau pris de court quand le monstre qui le suivait s'écrasa de toute ses forces contre la porte dans un vacarme de bruit. La porte l'emporta, mais le sursaut du garçon l'avait porté jusqu'à la deuxième marche. Une note métalique raisonna dans la cage d'escalier alors que Simon montait les marches quatre à quatre, peut désireux de savoir si le colosse savait utiliser une porte.
Il arriva au premier étage. D'ordinaire le couloir peint en rose et la lumière qui irradiait des fenêtre donnait à la scène un sentiment de tranquilité, mais ce n'était plus le cas. Les murs étaient lacérés de petites griffures et plus rarement, de grandes. Le sol était jonché de cadavres et de sang, mais le couloir était vide. Encore une fois l'étrange sensation de manque d'émotion pris le jeune homme. Malheureusement, elle n'aidait pas avec les odeurs. Simon recouvrit son nez avec son T-shirt et s'avança lentement dans le couloir. Il regardait droit devant lui, vers la porte de la chambre de Marie, en partie pour voir si un monstre allait arriver, mais surtour pour éviter les regards vides de ses anciens camarades. Quand même, à chaque fois qu'il passait devant un des machabés il leur jettais un petit regard et à chaque fois son cœur s'emballait lorsqu'il découvrait que ce n'étais pas Marie. Il s'en voulait de penser ainsi, mais son désir de retrouver Marie saine et sauve était nien plus fort que son sentiment de culpabilité.
Enfin, il se retrouva devant la chambre de Marie. La porte était entrouverte. Son cœur repris un rythme emballé alors qu'il levait le bras pour ouvrir la porte. Il avait fait tout ce chemin pour en arriver la, et maintenant qu'il y était, il avait trop peur de ce qu'il risquait de trouver pour l'ouvrir. Il essaya de prendre une grande inspiration pour se donner courage, mais l'odeur du sang était si forte qu'il failli déglutir. Finalement c'est son épuisement et sa colère qui lui permirent de reprendre le dessus. Il en avait marre de se faire attaquer, de ses sentiments horribles qui l'accablait depuis qu'il avait tuer Thibault, de cette odeur de mort qui flottait, de toute cette histoire étrange et horrible. Il frappa la porte d'un coup de pied et entra à l'interieur, résolu à affronter tout ce qui pourrait si trouver.
La chambre était vide et bien rangée, aucun signe de lutte, ni même du passage des petites créatures. Elle était dans le même état qu'elle était le jour d'avant, avant que toutes les horreurs frappent l'internat. Simon frappa le mur de colère et s'assit dans le couloir, oubliant completement la scène qui l'entourait. Réflechissant à cent à l'heure il chercha où la jeune fille avait bien put se cacher, convaincu qu'elle allait bien. Sans y penser il rejeta un coup d'oeil à la chambre qu'il voyait pour la première fois.
- Je ne la pensais pas aussi fifille. Se surpris-t-il à penser.
Un cri dans la chambre d’à côté le tira de sa rêverie et sans même y penser Simon entra dans la pièce voisine. Il vit Laure, recroquevillé dans un coin de la chambre, un des colosses à quelques pas à peine. Simon frissonna de peur pour la jeune fille et lui même, puis toujours à bout de nerfs fit fit de ses craintes, et fonça droit sur le monstre. Il ramassa une chaise au passage et frappa de toutes ses forces le monstre au niveau de ses jambes, le seul point faible qu'il leur connaissait. Le choc brisa la chaises en morceaux, certaines échardes griffèrent Laure aux avant-bras qui protégeaiebt son visage, mais il eut aussi l'effet désiré. La créature s’effondra par terre avant de se retourner vers son agresseur. D'un vigoureux coup de pied au visage, Simon le renvoya au tapis et, il attrapa le bras de Laure. Il l'attira vers lui, puis la tira hors de la chambre. D'un virage sec il se propulsa avec la jeune fille dans la chambre de Marie et referma la porte. Il recouvrit la bouche de Laure de sa main pour l'empecher de faire du bruit et attendit, oreille collé contre la porte. Il entendit les pas lourds du colosse, tandis qu'il chargeait à travers le couloir à la recherche de ses proies disparues. Dans sa hate il n'avait pas remarqué qu'il baillonait toujours la jeune fille tout en se tenant à distance très peu respectable. Il lacha prise en sursaut et devint rouge comme une pivoine au passage alors qu'il essayait de caffouiller des excuses.
- Tu n'es pas blessée ? Demanda-t-il à son amie finalement d'une voix forte qu'il voulait héroique, pour essayer de reprendre contenance.
- Non ça va, répondit elle vexée en ce massant le bras. Tu m'as fait plus de mal que cette chose espèce de sauvage.
Simon abassourdi ne s'attendait pas à cette réponse.
- Désolé, se repris la jeune fille tout à coup embarassée. Tu m'as sauvé la vie, merci.
- De rien, répondit Simon ne sachant plus trop à quoi s'attendre de son amie.
Puis son objectif lui revint en tête :
- Tu peux me dire ou est Marie ?
Laure ne répondit pas et dans le silence, il réalisa enfin ce qui c'était passé.
- C’était elle? Demanda-t-il connaissant déjà la réponse.